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Le francoprovençal est une belle langue. Bien que ne la parlant pas , ne la comprenant pas, je reste sensible à sa musicalité lorsque les -trop rares- occasions de l'entendre se présentent. Cette langue, vulgairement surnommée patois, parlée par mes grand-parents, m'a bercée durant mon enfance. C'est pourquoi j'ai envie de la mettre à l'honneur sur ce blog. Je mettrais en ligne petit à petit les textes qu'écrivit mon grand-père Donat et que vous connaissez déjà pour les avoir lu en français.
Histoires maintes fois racontées et publiées dans la Revue Dava Rossan-na en français et en patois sous le nom d'auteur Dona Revène – Le Marmotïn – Moulïn - Péjèy

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lundi 17 décembre 2012

Trois jeunes ambassadeurs dans la commune

Roscanvel Jumelage

Voilà dix ans, Laurent Silvin, 20 ans, maintenant ouvrier d'entretien à la maison familiale de Peisey-Nancroix venait dans la commune pour la première fois à l'occasion des échanges scolaires, accompagné du directeur de l'école, son instituteur en classe de CM2, maire de Peisey-Nancroix à l'époque. Deux ans plus tard, ses deux soeurs, en classe de CM2 également, Myriam et Anne-laure lui emboîtaient le pas et se rendaient également dans la commune. Ceci fut pout tous les trois l'occasion de découvrir la presqu'île. Cinq ans plus tard, ils revenaient avec leurs parents à l'occasion des cinq ans de jumelage entre Peisey-Nancroix et la commune.
Leurs parents ont participé aux festivités du dixième anniversaire au début du mois. Myriam et Anne-laure, les deux jumelles âgées de dix-huit ans toutes deux animatrices et leur frère laurent travaillent dans le même établissement, et profitant de leurs congés annuels, ont séjourné plus d'une semaine dans la commune, ils doivent en effet partir aujourd'hui lundi. Ils étaient hébergés à la maison de la paroisse, « les Genêts », rue de Peisey-Nancroix. Au cours de leur séjour, ils ont pu parfaire leur connaissance de la presqu'île guidés par les jeunes de la commune et reprendre contact avec leurs connaissances, l'école et leurs familles d'accueil. Amoureux de la Tarentaise, ils veulent la faire connaître aux habitants de la presqu'île et ont envoyé des dépliants touristiques dans leurs bagages dans ce but mais leur sourire et leur gentillesse n'est-il pas le meilleur ambassadeur de Peisey-Nancroix ?

Ouest-France, juin 1986

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